Incandescents, révoltés et vulnérables, les poèmes de Jonathan Charette refusent obstinément la mortalité, notent l’ineffable, échappent aux ténèbres avec tout de même une envie d’y plonger un pied pour l’expérimentation ; ce derme brûlé peut-il se régénérer ?
La Passion de Cobain c’est le grunge et l’américanité, une disparition prématurée qui hante, la dévotion à une icône moderne de musique électrisante ; c’est un hommage à la bande des exclus dont les tonalités sont plurielles et souvent reléguées à l’éphémère
textures chaudes textures abrasives le solfège se débat dans l’ébriété influences de Leadbelly et de Young
Kurt malmène ses cordes vocales cri d’une marionnette éviscérée cri d’un arbre à l’envers cri d’un abattoir qui déborde silence d’une galaxie en prière
Incandescents, révoltés et vulnérables, les poèmes de Jonathan Charette refusent obstinément la mortalité, notent l’ineffable, échappent aux ténèbres avec tout de même une envie d’y plonger un pied pour l’expérimentation ; ce derme brûlé peut-il se régénérer ?
La Passion de Cobain c’est le grunge et l’américanité, une disparition prématurée qui hante, la dévotion à une icône moderne de musique électrisante ; c’est un hommage à la bande des exclus dont les tonalités sont plurielles et souvent reléguées à l’éphémère
textures chaudes textures abrasives le solfège se débat dans l’ébriété influences de Leadbelly et de Young
Kurt malmène ses cordes vocales cri d’une marionnette éviscérée cri d’un arbre à l’envers cri d’un abattoir qui déborde silence d’une galaxie en prière