Nous ne nous connaissions pas. Enfin, de toute évidence, moi je ne le connaissais pas, mais lui savait fort bien qui j’étais. »
Une jeune femme, la trentaine, reçoit un message sur son compte Facebook. C’est le début d’un drame à l’heure du numérique, où la fatalité n’a d’autre nom qu’un insidieux et inexorable harcèlement. Dans ce roman âpre, où la narratrice ne se dessine qu’au travers d’agressions accumulées, de messages insistants, où l’atmosphère étouffante s’accentue à mesure que la dépossession se transforme en accusation, Myriam Leroy traduit avec justesse et brio l’ère paradoxal du tout écrit, de la violence sourde des commentaires et des partages, de l’humiliation et de l’isolement, du sexisme et racisme dressés sur le réseau en meutes.
Nous ne nous connaissions pas. Enfin, de toute évidence, moi je ne le connaissais pas, mais lui savait fort bien qui j’étais. »
Une jeune femme, la trentaine, reçoit un message sur son compte Facebook. C’est le début d’un drame à l’heure du numérique, où la fatalité n’a d’autre nom qu’un insidieux et inexorable harcèlement. Dans ce roman âpre, où la narratrice ne se dessine qu’au travers d’agressions accumulées, de messages insistants, où l’atmosphère étouffante s’accentue à mesure que la dépossession se transforme en accusation, Myriam Leroy traduit avec justesse et brio l’ère paradoxal du tout écrit, de la violence sourde des commentaires et des partages, de l’humiliation et de l’isolement, du sexisme et racisme dressés sur le réseau en meutes.