«Une maison, au milieu des bois. Un homme le fusil à la main. Le bête. Elle a encore mangé les poules de l’homme. Cette fois-ci, c’en est trop. Il va lui donner une bonne leçon. Il prend son fusil, décidé à lui faire la peau. Mais la bête reste introuvable. Le chevreuil, la belette, la corneille, personne ne l’a vue. De retour il pose des pièges autour de sa maison. La bête ne lui échappera pas. À la nuit tombée, et la faim au ventre, la bête s’approche. Aux premiers frémissements, l’homme qui veille, attrape son fusil... et tire. Mais il sent le piège se refermer sur sa cheville [...].»
«Une maison, au milieu des bois. Un homme le fusil à la main. Le bête. Elle a encore mangé les poules de l’homme. Cette fois-ci, c’en est trop. Il va lui donner une bonne leçon. Il prend son fusil, décidé à lui faire la peau. Mais la bête reste introuvable. Le chevreuil, la belette, la corneille, personne ne l’a vue. De retour il pose des pièges autour de sa maison. La bête ne lui échappera pas. À la nuit tombée, et la faim au ventre, la bête s’approche. Aux premiers frémissements, l’homme qui veille, attrape son fusil... et tire. Mais il sent le piège se refermer sur sa cheville [...].»