Décidément, Léo n'en finit pas de nous enchanter. Comme dans Aldébaran, il ne cesse d'imaginer des mondes où le merveilleux peut surgir à chaque coin de page. Mais il n'est pas naïf pour autant. Lui qui fût contraint de quitter le Brésil, à cause de la dictature militaire, n'oublie pas de nous rappeler que tout pouvoir risque de se laisser gagner par la tentation totalitaire… --Philippe Actère